ÚäæÇä ÇáãæÖæÚ : ãÓÇÚÏÊí Ýí ÓÇä Êæãí æÈÑíäÓíÈí á20/01/2016 ÓäÉ 2 ËÇäæí
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rédigez un texte expositif ou vous donnez les différentes étapes d'une expérience que vous avez réalisée lors des séances de t.p ( en sciences naturelles en chimie en physique ) "" ßÊÇÈÉ ÝÞÑÉ ÕÛíÑÉ Ãæ ãáÎÕ Úä ãÑÇÍá ÊÌÑÈÉ ÞãÊ ÈåÇ íãßä Ãä Êßæä ÝíÒíÇÆíÉ Ãæ Ýí ÇáÚáæã ÇáØÈíÚíÉ"" merci ......íÊßæä ãä 8 Ãæ 10 ÃÓØÑ Úáì ÇáÃÞá ...b
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La physique est une science exacte de la nature. Elle correspond à l'étude du monde extérieur et des lois de son évolution. La modélisation des systèmes laisse de côté les caractères spéciaux aux êtres vivants. Il existe dans la nécessaire pratique du travail scientifique une distinction entre physique expérimentale, physique théorique et physique mathématique. La physique fournit aux autres sciences de la nature méthodes et techniques : elle intervient ainsi en chimie physique, astrophysique, géophysique, biophysique...
Les divisions anciennes en mécanique,chaleur, acoustique, optique, électricité, magnétisme sont complétées ou remplacées par :

  • la taille des éléments de structure au centre de la modélisation : particules élémentaires, noyaux atomiques, atomes, molécules, macromolécules ou polymères, grains de matière...
  • les caractères des interactions à l'origine des phases ou états de la matière : plasma, gaz, liquide, solide.

La physique classique est fondée sur des théories antérieures à la relativité et aux quanta. Elle n'est souvent qu'un cas limite où :

  • soit la vitesse est très inférieure à la célérité de la lumière dans le vide
  • soit la discontinuité des niveaux d'énergie est impossible à mettre en évidence.

La physique née avec les expériences répétées du vieux Galilée n'accepte, au delà des principes et des conventions issues des schémas mathématiques, comme résultat que ce qui est mesurable et reproductibleexpérience. La méthode choisie permet de confirmer ou d'infirmer les hypothèses fondées sur une théorie donnée. Elle décrit de façon quantitative et modélise les êtres fondamentaux présents dans l'univers, cherche à décrire le mouvement par les forces qui s'y exercent et leurs effets. Elle développe des théoriesmathématiques pour décrire et prévoir l'évolution de systèmes.
Le mot Physique a une longue histoire, il provient de φυσικη, formée sur l'étymon grec φυσις, la nature. La physika ou physica gréco-romaine est étymologiquement ce qui se rapporte à la nature ou précisément le savoir harmonieux et cyclique sur la nature dénommée φυσις. Dans un sens général et ancien, la physique désigne la connaissance de la nature qui se perpétue en restant essentiellement la même avec le retour des saisons ou des générations vivantes ; c'est le sens de René Descartes et de ses élèves Jacques RohaultRégis[1]. Elle correspond alors aux sciences naturelles ou encore à la philosophie naturelle. La signification de cette physique ancienne ne convient plus aux actuelles sciences exactes que sont la physique, la chimie et la biologie, cette dernière étant la plus tardive héritière directe des sciences naturelles[2].


Étymologie et lointaine évolution du sens


Le terme « physique » vient du grec η φυσικη adopté dans le monde gréco-romain, signifiant "connaissance de la nature". Ce nom est obtenu en substantivant l'adjectif φυσικος, η, ον qui se traduisait alors par "qui concerne la nature". La racine de ces termes est φυσις, la nature au sens des Grecs anciens.
Le terme ancien est perpétué par la tradition de la philosophie antique. Selon Platon[réf. nécessaire], la physique est l'une des trois parties de l'enseignement de la philosophie, aux côtés de l'éthique et de la logique. Selon son élève Aristote, la philosophie se divise en philosophie théorétique, philosophie pratique et philosophie poétique; la physique est une des trois parties de la philosophie théorétique, aux côtés de la mathématique et de la théologie. Aristote écrit un livre sur la Physique. Ce qui échappe à la triple catégorisation et ne peut être catalogué dans la physique est dévolu à la métaphysique, c'est-à-dire ce qui peut se placer à côté de la physique.
Au XIIe siècle, le mot savant physique est attesté en ancien français sous la double forme fusique dès 1130 ou fisique, il a un double sens :
par l' en utilisant l'outil des et
  • La médecine se nomme fusique. Son praticien, un médecin ou autrefois un apothicaire, est dénommé fisicien dès 1155. En anglais le terme subsiste avec la graphie savante : a physician.
  • La fisique est aussi la connaissance des choses de la nature. Le praticien ne soigne-t-il pas avec les dons de la nature, les herbes et les plantes, les substances minérales, animales ou végétales ?

Il n'apparaît en tant qu'adjectif qu'à la fin du quadrocento ou XVe siècle. Loys Garbin le cite dans son vocabulaire latin-français publié à Genève en 1487, il désigne « ce qui se rapporte à la nature » et le substantif s'affirme dorénavant science des choses naturelles. L'adjectif reste d'emploi rare avant le XVIIe siècle. Le mot physique désigne alors les « connaissances concernant les causes naturelles » et, à l'instar de la force promue par hypothèse cause du mouvement, son étude apporte l'expression « philosophie naturelle » selon un corpus universitaire gardé par Isaac Newton, auteur des principes mathématiques de philosophie naturelle. Au XVIIIe siècle, la physique désigne clairement en français la science expérimentale.
Des chaires de philosophie naturelle sont établies dans certaines universités, notamment au Royaume-Uni (Oxford, Edimbourg, etc.) À Paris, on compte par exemple une chaire de philosophie naturelle au collège de Clermont, occupée notamment par Ignace-Gaston Pardies. Maxwell occupe quelque temps une semblable chaire à Edimbourg où l'enseignement reste un fourre-tout indigeste.


Histoire : naissance d'une science moderne


Le mot physique prend son sens moderne, plus restreint et mieux défini que le sens originel, au début du XVIIe siècle avec Galilée. Les lois de la nature s'écrivent en langage mathématiques. Les principes d'inertie et de relativité ainsi que les lois découvertes ne sont nullement accessibles au sens commun. La notion mathématique de mouvement que l'expérience engendre a totalement échappé à Aristote et aux prestigieux philosophes antiques.

Portrait de Galileo Galilei par Giusto Sustermans en 1636.


L'élève du vieux Galilée, Torricelli montre que la science ne se *******e pas de calculer des trajectoires balistiques, mais elle peut aussi expliquer des phénomènes singuliers qu'on lui soumet et mettre au point des techniques. Les fontainiers de Florence ne parvenaient pas à hisser par une seule puissante pompe aspirante l'eau de l'Arno à des hauteurs dépassant trente-deux pieds, soit une dizaine de mètres. Torricelli consulté par ses maîtres artisans dépités constate avec eux le fait troublant, mais en procédant par expérience, il découvre le vide et détermine les capacités maximales d'élévation d'une batterie de pompes. Et les pionniers de la modélisation scientifique parmi lesquels le Français Descartes et nombre d'hydrauliciens et savants expérimentateurs des Pays-Bas ou d'Angleterre contribuent à difffuser les bases de cette physique classique qui atteint son heure prestigieuse et céleste en Angleterre avec les théories d'Isaac Newton. Les corrélations des observations aux modèles sont maintenant freinées par la lourdeur de l'outil mathématique. Le hiératisme conservateur du Newton auréolé de gloire et sa longue frilosité à publier plombent la science anglaise qui possèdae pourtant une première grande avance. Le continent européen, en particulier l'Europe rhénane, choisit une notation souple initiée par Leibniz et s'impose en mathématique et physique, disciplines souvent très peu dissociables. Ainsi les Bernoulli, Huyghens ... jusqu'à Gauss font-ils rayonner la physique continentale.
À l'université de Paris, les professeurs ne sont nullement des chercheurs confrontés à des situations concrètes et triviales de terrain l'aristotélisme fournissant des cadres de classement et un ordre apparemment rigoureux domine encore les cours de philosophie naturelle jusque dans les années 1690, à partir desquelles il est progressivement remplacé par un cartésianisme sophistiqué, notamment grâce à l'ouverture du collège des Quatre-Nations et les cours d'Edme Pourchot.
Dans la première édition du Dictionnaire de l'Académie française, datant de 1694, le nom « physique » est désigné comme la « science qui a pour objet la connaissance des choses naturelles, ex: La physique fait partie de la philosophie;la physique est nécessaire à un médecin.». L'adjectif « physique » est défini, en outre, comme signifiant « naturel, ex: l'impossibilité physique s'oppose à l'impossibilité morale ». Ce n'est que dans sa sixième édition (1832-1835) que le sens moderne de « physique » apparait, le terme est défini comme la « science qui a pour objet les propriétés accidentelles ou permanentes des corps matériels, lorsqu'on les étudie sans les décomposer chimiquement. ». Enfin dans sa huitième édition (1932-1935), la physique est définie comme la « science qui observe et groupe les phénomènes du monde matériel, en vue de dégager les lois qui les régissent.»
La science n'a pu éviter deux terribles écueils qui ont énormément paralysé sa croissance : le positivisme illustré par l'influence d'Auguste Comte et d' Émile Littré et les dérives philosophiques, heureuses si elles n'étaient limitées qu'à l'emploi de la catégorie philosophie naturelle .
Le Littré donne des définitions apparemment précises. En tant qu'adjectif, il définit les phénomènes physiques comme « ceux qui ont lieu entre les corps visibles, à des distances appréciables, et qui n'en changent pas les caractères » et les propriétés physiques, comme « qualités naturelles des corps qui sont perceptibles aux sens, telles que l'état solide ou gazeux, la forme, la couleur, l'odeur, la saveur, la densité, etc. ». Les sciences physiques sont définies comme « celles qui étudient les caractères naturels des corps, les forces qui agissent sur eux et les phénomènes qui en résultent ». En tant que nom, la physique est définie comme « science du mouvement et des actions réciproques des corps, en tant que ces actions ne sont pas de composition et de décomposition, ce qui est le propre de la chimie ».
La notion actuelle de science en tant qu'« ensemble ou système de connaissances sur une matière » date seulement du XVIIIe siècle. Avant cette époque, le mot « science » signifiait simplement « la connaissance qu'on a de quelque chose » (science et savoir ont la même étymologie) et la notion de scientifique n'existait pas. À l'inverse, le terme « philosophie » désigne dans son sens ancien « l'étude des principes et des causes, ou le système des notions générales sur l'ensemble des choses. », les sciences naturelles étaient donc le résultat de la philosophie naturelle (voir l'exemple du titre de la revue Philosophical Transactions).
L'expression « sciences physiques » désigne actuellement l'ensemble formé par la physique (dans son sens moderne) et la chimie, cette expression prend son sens actuel en France au début du XIXe siècle, en même temps que le mot « science » prend le sens d'« ensemble formé par les sciences mathématiques, physiques et naturelles ». Auparavant, l'expression « sciences physiques » était un simple synonyme de l'expression « sciences naturelles »[


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