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اريد فقرة عن الفيسبوك بالفرنسية ممكن اليوم


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>>>> الرد الأول :

Une étude américaine montre que l'utilisation du réseau social aurait un effet néfaste sur le bien-être.


Ceux qui passent le plus de temps sur ******** seraient ceux qui se sentiraient le moins heureux. Et ce n'est pas le sentiment de mal-être qui pousserait à utiliser les réseaux sociaux, mais bel et bien l'usage de ******** qui aurait un impact néfaste sur l'humeur. C'est ce que conclut une équipe dse chercheurs de l'université du Michigan en collaboration avec l'université de Leuven, dans une étude publiée cette semaine dans la revue Plos One .
En seulement sept ans, le réseau social créé par Mark Zuckerberg a conquis plus d'un milliard d'internautes, dont environ la moitié se connectent chaque jour. Un nombre d'utilisateurs qui a fait de ******** un phénomène social, auquel les scientifiques de tous bords n'ont pas manqué de s'intéresser. Un article scientifique récent aurait recensé 412 publications entre 2005 et 2012 consacrées à son usage.
«Mais parmi tous ces travaux de recherche, aucun ne s'était encore intéressé à l'impact du réseau social sur l'humeur de ses utilisateurs au cours du temps», explique Philippe Verduyn, chercheur à l'université de Leuven et auteur de l'étude. Les chercheurs ont donc mis au point un protocole novateur, permettant d'évaluer les effets de ******** sur les aspects affectifs et cognitifs du sentiment de bien-être des utilisateurs, avec une approche dynamique.
«Le bien-être ne peut dépendre d'un seul paramètre»

L'étude a été menée chez 82 étudiants américains âgés en moyenne de 19 ans et demi. Durant 14 jours, les volontaires ont reçu 5 fois par jour des textos contenant un lien vers un questionnaire à remplir en ligne. Leurs réponses permettaient d'évaluer l'état affectif des sujets (bien-être général, sentiment de solitude, d'inquiétude…), leur utilisation de ******** ainsi que leurs interactions avec d'autres personnes par téléphone ou face à face.
«Les résultats montrent que plus les sujets utilisent ********, plus leur sentiment subjectif de bien-être se dégrade», explique Philippe Verduyn. De plus, cet effet délétère serait indépendant d'autres facteurs, tels que le nombre d'amis ********, la motivation à utiliser le réseau social, le genre des utilisateurs, leur niveau d'estime de soi ou encore leur état initial de solitude ou de dépression. «Nos données indiquent que l'usage de ******** prédit une dégradation des deux aspects du sentiment de bien-être que sont la satisfaction globale que l'on a de sa vie et l'humeur que l'on ressent sur le moment», concluent les chercheurs.
Des résultats que Yann Leroux, docteur en psychologie, tient à modérer: «Cette étude est méthodologiquement très bien faite, mais il faut rester prudent quant aux conclusions: l'humeur ou le bien-être d'un individu ne peuvent pas dépendre d'un seul paramètre.»
Le psychologue précise que l'approche de ce type d'étude reste trop globale. Connaître en détail les pratiques des internautes lorsqu'ils se connectent au réseau social permettrait d'enrichir les recherches. «******** possède toutes ces informations et il faut espérer qu'un jour les chercheurs y auront accès, dans le respect de l'anonymat pour les usagers bien entendu», ajoute Yann Leroux.
Un souhait qu'expriment aussi les auteurs de l'étude, qui voudraient également explorer les effets de l'usage du réseau social dans d'autres classes d'âge de la population.

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>>>> الرد الثاني :

********, un faux ami en cas de rupture amoureuse

Mots clés : psychologie, Relation amoureuse, ********, amour, sexe, Réseaux sociaux
Par Charles Brumauld des Houlières - le 19/10/2012
Après une séparation, rester connecté en tant qu'«ami» avec l'ex-partenaire bloquerait le processus de guérison émotionnelle et l'épanouissement personnel.



Confrontés à la difficulté d'une rupture amoureuse, certain(e)s éprouvent le besoin de rester en contact avec leur ex-partenaire, au moins pendant une courte période. Avec ********, cela devient possible puisque la vie intime de chacun y est exposée quasi publiquement. Selon le travail de la psychologue Tara C. Marshall, publié dans la revue Cyberpsychology, Behavior, Networking, la star des réseaux sociaux, en facilitant le contact avec l'ex-partenaire, empêcherait d'aller de l'avant après une séparation.
Pour parvenir à ces résultats, ses équipes ont interrogé 464 participants dont la grande majorité sont des jeunes femmes américaines en âge d'entrer à l'université. Ces dernières se sont exprimées sur le souvenir d'une rupture douloureuse (haine, frustration, tristesse, etc.) avec une personne qui possédait un compte ******** et renseigné les chercheurs sur la fréquence à laquelle elles consultaient leur page ou la liste d'amis de leur ex-partenaire.
Faire le deuil

Selon les données de l'étude, 57% des participants restent «amis» avec leur ex, et l'immense majorité (90%) d'entre eux admettent avoir accès au mur de celui-ci (photos, commentaires, etc.). Pour ceux qui n'étaient plus «amis», 86 % des participants pouvaient voir la photo de profil de l'ancien partenaire et pour 72%, sa liste d'amis. Difficile, en ces circonstances, d'aller de l'avant, surtout lorsque l'autre exhibe fièrement sa nouvelle conquête. L'étude démontre en effet que l'amitié sur ******** avec un ancien partenaire est «associée à un sentiment de détresse, d'émotions négatives, de désir sexuel et d'attente envers l'ex-partenaire ainsi qu'un faible épanouissement personnel». «Guérir après la perte d'une relation implique qu'il faut d'une part se remettre du ressentiment éventuel et se détacher de l'autre, mais également construire un nouveau récit qui rend possible l'épanouissement personnel», explique l'auteur de l'étude, Tara C. Marshall. Pour cela, «éviter le contact, au moins pour un temps, serait le meilleur remède pour un cœur brisé».
Un constat qui ne surprend guère Michael Stora, psychologue et spécialiste des mondes numériques, pour qui cet usage de ******** n'évite pas la peine d'amour. «Rester hyperconnecté va rendre plus difficile le travail de deuil dans le temps, car la personne va rester tyrannisée par l'image ou le souvenir de l'autre», analyse-t-il.
«On n'oublie pas, on vit avec»

Celles et ceux qui souffrent trop pensent alors à supprimer complètement l'autre de leur liste d'amis. Tara Marshall met néanmoins en garde contre ce réflexe: «Un ancien partenaire avec qui nous n'avons strictement aucun contact peut paradoxalement garder un certain mystère qui le rend séduisant, ce qui suggère que conserver un ex dans sa liste d'amis ******** pourrait en réalité aider certaines personnes au lieu de nuire à leur guérison.» Selon Michael Stora, «il ne faut pas diaboliser les réseaux sociaux, qui amplifient le malheur plus qu'ils ne le provoquent. Ce n'est pas parce que l'on enlève untel d'une liste que l'on va guérir instantanément. Quelque part, pouvoir garder l'autre en tant qu'ami virtuel serait un signe de bonne santé émotionnelle. De toute façon, on n'oublie jamais quelqu'un, on vit avec».


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>>>> الرد الثالث :

"En surface, ******** fournit une ressource précieuse pour remplir le besoin de base des hommes d'avoir des liens sociaux", constate Ethan Kross, psychologue de l'Université du Michigan (nord) et principal auteur d'une étude parue dans le journal scientifique PLOS. "Mais plutôt que d'améliorer le bien-être des gens, l'utilisation de ******** a l'effet inverse : elle l'empire", souligne-t-il.
L'enquête a été menée auprès de 82 jeunes adultes disposant de smartphones et de comptes ********. Les chercheurs ont tenté d'évaluer leur bien-être en leur envoyant des textos cinq fois par jour durant deux semaines pour leur demander s'ils se sentaient seuls ou inquiets, combien de fois ils avaient visité le réseau social et communiqué "directement" avec d'autres personnes.

Les résultats ont montré "que plus les personnes utilisaient ******** à un moment donné, moins elles se sentaient bien le moment d'après lorsque nous leur envoyions un texto", écrivent les chercheurs. "Plus elles (l')ont utilisé durant les deux semaines, plus leur degré de satisfaction dans la vie a décliné au fil du temps", ajoutent-ils.
LES JEUNES ADULTES CIBLÉS
A l'inverse, les interactions directes avec les gens, non par le biais des réseaux sociaux, ont conduit à améliorer ce bien-être personnel. "Ce sont des résultats de la plus haute importance parce qu'ils touchent au cœur même de l'influence que peuvent avoir les réseaux sociaux dans la vie des gens", souligne John Jonides, spécialiste des neurosciences à l'Université du Michigan, coauteur de l'étude.
Les scientifiques notent également que les personnes interrogées n'étaient pas plus enclines à utiliser ******** lorsqu'elles se sentaient mal, bien qu'elles aient eu plus souvent recours au réseau social lorsqu'elles se sentaient seules.
Les chercheurs refusent cependant de généraliser les résultats et de dire que l'utilisation de ******** – ou d'autres réseaux sociaux – a les mêmes effets sur tout le monde. "Nous nous sommes concentrés sur les jeunes adultes parce qu'ils représentent une part essentielle des utilisateurs de ********", précisent-ils. Cette étude est publiée une semaine après une enquête de chercheurs britanniques pointant le fait que poster fréquemment des photos sur ******** pouvait détériorer les relations humaines dans la "vraie" vie.


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>>>> الرد الرابع :

C’était loin d’être gagné d’avance. Entré en Bourse en grande pompe, le 18 mai 2012, ******** avait vu le cours de son action s’effondrer quelques jours plus tard. Un peu plus d’un an et demi plus tard, le géant des réseaux sociaux obtient une revanche et vient de connaître une mini consécration boursière.
Entrée dans un cercle restreint


La coentreprise S&P 500 et Dow Jone vient en effet d’annoncer que l’action du réseau social va intégrer l’indice boursier américain élargi S&P 500. L'indice Standard & Poor's 500, qui émane de l'agence de notation éponyme et rassemble 500 sociétés américaines sur la base de leur capitalisation boursière, est jugé plus représentatif par les investisseurs que le Dow Jones, qui renferme 30 titres vedette et n'est pas pondéré par la capitalisation des entreprises cotées.
C’est donc une forme de reconnaissance pour ********, qui a su au cours des trimestres fiscaux rassurer les investisseurs ne se montrant notamment capable de mieux monétiser son audience mobile.

Les « glamours » de Wall Street

Le californien de Menlo, va remplacer le groupe Teradyne, un spécialiste des équipements de test pour semi-conducteurs. Ce changement, prévu le vendredi 20 décembre après la clôture, sera donc effectif dans les échanges lundi 23 décembre à l'ouverture. Le titre de ********, coté sur la Bourse Nasdaq, à dominante technologique, fait désormais partie de ce que les analystes financiers appellent les « glamours » de Wall Street. Il valait mercredi 49,38 dollars à la fermeture de la Bourse, en hausse de presque 30% par rapport à son prix d'introduction de 38 dollars.


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>>>> الرد الخامس :

si ce n'est ^pas ca ou si vous avez besoin de traduction n'hésitez surtout pas


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