عنوان الموضوع : الانحراف يدمر العالم............ تم حل المشكلة
مقدم من طرف منتديات العندليب

السلام عليكم و رحمة الله و بركاته
طرحت موصوع الانحراف و أسبابه و نتائجه لما له من تأثير على المجتمع
الموضوع باللغة الفرنسية و أتمنى أن يلقى ترحيبا

délinquance juvénile

Le terme délinquance juvénile désigne un comportement antisocial ou illégal d'un enfant ou d'un adolescent1. La plupart des systèmes judiciaires occidentaux appliquent des procédures judiciaires particulières pour traiter les dossiers juvéniles, tels que des mais de délinquance juvénile. Au début du XXIe siècle, les crimes juvéniles reçoivent une exposition médiatique importante et intéresse les politiciens.
La quantité et le type de crimes juvéniles peuvent servir comme indicateur de la moralité et de l'application des lois d'un pays. En conséquence, ils peuvent provoquer une « panique morale »2. Il existe différentes théories sur les causes du crime, lesquelles s'appliquent souvent aux crimes juvéniles. La criminologie s'y intéresse particulièrement, car la plupart des crimes sont commis par des personnes entre 15 et 25 ans3. De plus, étant souvent à ses premières offenses, un jeune délinquant serait plus facile à « redresser » qu'un criminel qui a réalisé plusieurs offenses.
Plusieurs délinquants juvéniles souffrent de trouble mentaux et ne sont pas nécessairement diagnostiqués. Ce diagnostic peut servir à corriger leurs comportements criminels

01- Les causes de la délinquance juvénile :

a)-Manque de contrôle social et de solidarité
Le fait de vivre dans une société anonyme et urbaine, le manque de contrôle social, et notamment la passivité des témoins potentiels favorise également la délinquance

b)-L’urbanisation
Le taux d’urbanisation est clairement un facteur de délinquance.
Ce qui détermine avant tout le taux de délits en Europe est la croissance des villes : Elle procure les cibles et engendre la disparition du tiers protecteur par l’anonymat. Il existe également un lien avec le taux de chômage et de ségrégation spatiale

c)-Les facteurs familiaux
Le manque de coordination entre les horaires scolaires et les horaires de travail des parents diminue le contrôle de l’emploi du temps des jeunes et est donc un facteur de délinquance.
Il y a un lien clair entre la structure familiale et les comportements à risque. Les facteurs de délinquance liés à la situation familiale sont les suivants :
1. les familles éclatées (divorces, séparation)
2. Le nombre d’enfants au sein de la famille influence fortement la délinquance.
3. Le niveau de supervision des parents et le climat au sein de la famille sont importants.
4. Les mauvais parents ou les parents condamnés sont un facteur de délinquance.



d)-Déclin des règles morales
Un autre critère serait le lien affectif avec les personnes qui jugent l’acte. L’autorité morale est liée à la proximité et au lien affectif. Une règle est tenue pour bonne et juste lorsque l’on se sent proche de celui qui la formule. Le jugement des parents et des copains est important : l’opinion des proches fait plus autorité que la loi.

2)-les conséquences humaines et matérielles :
Cette délinquance entraîne de nombreuses dégradations, qu’elles soient personnelles ou extérieures.
A°) Détérioration
Lorsque des incidents surviennent en dehors de leurs quartiers, les émeutiers ne se gêneront pas pour s’opposer aux violences avec des arguments pleins de bon sens et de sagesse du type : « ça ne sert à rien de tout casser, c’est les parents qui payent, les commerçants vont tous partir et on restera sans rien. Mais ces paroles ne résolvent rien, à ce stade, plus rien ne les atteint à part la répression pénale, pour certains, les serments ne servent à rien et ne font qu’empirer les choses car le jeune ne se sent pas considéré comme un adulte. « La violence est une façon de s’exprimer que la société démocratique nous interdit, parce que dans la société démocratique tout le monde peut s’exprimer. Et bien, ce n’est pas vrai, et nous, on le prouve en cassant. » Ceci reflète la façon générale de penser des jeunes.
B°) Toxicomanie
La recherche française s’est peu intéressée à la question d’une certaine liaison entre la toxicomanie et la délinquance, laissant le champs libre aux discours politiques et à leurs approximations. Ainsi la presse se fait l’écho de déclarations attribuant 50%, 60% voire davantage, de la « délinquance » aux " toxicomanes". Sur le plan national, 19,89 % des affaires de stupéfiants impliquent des mineurs.
C°) Violences :
Cette violence se manifeste par de nombreux actes qui reflète leur mal être et l’extériorisation de leur agressivité : ex : incendies volontaires de véhicules, attaques de commissariats, de supermarchés, violences à l’école, jets de pierres, vols avec violence ou pire rackets et sévices corporels.



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