عنوان الموضوع : هل من مساعد ارجوكم حالة طارئة للاولى ثانوي
مقدم من طرف منتديات العندليب

اريد مساعدة فى انترفيو مع شخصية مشهورة تتمثل فى اسئلة عن حياته وكيفية دخوله عالم الشهرة وماهى الانجازات التى حققها وجزاكم الله الف خير واريده صغير من فضلكم احتاجه غدا بالفرنسية


>>>>> ردود الأعضـــــــــــــــــــاء على الموضوع <<<<<
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>>>> الرد الأول :

https://www.dzfoot.com/article-330.php
تفضل اخي ربي معاك

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>>>> الرد الثاني :

شكرااااااا جزيلاااا اخى هدا ما كنت ابحث عنه

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>>>> الرد الثالث :

شكرا اخى لكن اريده على حياته وكيفية دخوله عالم الشهرة

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>>>> الرد الرابع :

interview avec un chanteur de RAI


- Cheb seddik , vous dites que la raison du recul de la chanson algérienne est le public qui n’écoute plus cette musique locale. Mais ne pensez-vous pas que la qualité de cette musique, qui reste relativement médiocre par rapport à celle qui vient d’ailleurs, serait derrière tout ça ??

• Ah non mon ami. Avant oui, on avait un problème de qualité. Le temps de Rabah Deriassa, Ahmed Wahbi, Kh’lifi Ahmed, Guerrouabi, ElHessnaoui et les autres. Mais maintenant, ce problème n’existe plus. Vous pouvez écouter des produits de Kheira ou Cheb Hassen, la qualité est vraiment excellente. C’est fini la cassette super longue durée, maintenant on enregistre sur des CD de très bonne qualité.

- Non monsieur, vous ne m’avez pas compris. Je ne parle pas de la qualité de l’enregistrement, mais bien de la qualité de la chanson.

• Mais quelle qualité exactement ?? On a plusieurs qualités, on a le raï, le chaâbi, le kabyle, le staïfi et d’autres !!! Vous voyez, y’en a plusieurs qualités et c’est au client de choisir selon ses goûts.

- Ca, c’est les genres Cheb Seddik. Passons à autre chose. Vous dites : C’est au client de choisir. Le fait que l’artiste appelle son public, clients ; est ce normal ??

• C’est tout à fait normal, le client c’est le roi, le public c’est le roi, donc le public c’est le client.

- C’est sur, je ne dis pas le contraire. Mais ça sonne commerce quand on dit client. N’est ce pas ??

• Pas forcément. Un avocat par exemple, il ne vend rien à son client, au contraire, il lui achète son innocence. Mais il l’appelle : Mon client. Nous, nous sommes les avocats de notre public, il est donc notre clientèle.

- Les arguments, ça ne manque pas !! Mais pourquoi on ne trouve pas dans vos chansons cette intelligence dont vous venez de faire preuve ??

• Non, dans nos chansons y a beaucoup d’intelligence, mais c’est vous qui ne nous comprenez pas, contrairement à nos clients qui comprennent tout.

- Par exemple ?? !

• Par exemple, quand on dit : Ya bènte m’ma (Ô fille de ma mère), en parlant de la copine, ça ne vous parait pas faux ??

- Si. D’ailleurs je me demandais toujours pourquoi vous dites ça !!!

• Il faut juste être intelligent. La copine, c’est l’âme sœur. La sœur, c’est la fille de votre mère. Votre copine c’est l’âme fille de votre mère. Vous voyez ce que je veux dire ??

- Parfait !!!! Fallait y penser. Cheb Seddik, un dernier mot.

• Bonne fête à toutes les femmes algériennes et algériens.

- Ah, attendez. Algériennes, c’est clair, mais femmes algériens ???

• Je veux dire les femmes des deux sexes, féminin et masculin (les femmes d’origines et les femmes Taiwan, comme on dit). Soyez intelligents.

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>>>> الرد الخامس :

interview avec sheryfa luna


Public : Comment avez-vous célébré cette victoire ?
Sheryfa : Très calmement, alors que d'habitude, je suis plutôt expansive. Mais j'ai envie de saisir la chance extraordinaire qu'on m'a donnée...
Public : On dit que la chanteuse Diam's aurait influencé le jury...
Sheryfa : Je n'y crois pas ! Diam's, je ne l'ai rencontrée qu'une seule fois, nous sommes allées au resto. Je ne peux pas dire qu'on est amies, je n'ai même pas son numéro de portable.
Public : Vous êtes-vous inspirée de son look ?
Sheryfa : Je voulais une coupe courte et la sienne me plaisait. Mais je ne suis pas fan d'elle au point de tout faire pour lui ressembler ! (Rires.)
Public : Les précédents groupes issus de Popstars ont eu une existence assez éphémère... Pensez-vous avoir plus de chance qu'eux ?
Sheryfa : Ma chance, ce n'est pas seulement avoir gagné la quatrième édition de Popstars mais une nouvelle émission hip-hop et R&b qui touche beaucoup plus de gens.
Public : Votre copine, Ibtisame, a participé à votre album Garder cette vie qui sort le 19 novembre prochain ?
Sheryfa : Oui, elle a seulement fait un interlude mais ce n'est que partie remise car nous avons des projets ensemble.
Public : Comment abordes-vous ce virage dans votre vie ?
Sheryfa : Confiante et déterminée ! En fait, ce sont surtout mes parents qui sont inquiets...
Public : Vous vivez avec eux ?
Sheryfa : Non, j'ai mon petit appart...
Public. . que vous partagez avec votre petit ami ?
Sheryfa : (Rires.) Non, je suis célibataire... Avoir un petit copain n'est pas ma priorité en ce moment.





Interview avec Cheb Khaled


Le moment fort du festival, c’était samedi soir, place Bab Marrakech. Une foule impressionnante a assisté à une fusion assez inédite qui a réuni le prestigieux Orchestre de la radio allemande, WDR, Maâlem Hamid El Kasri et Cheb Khaled.
Nous avons rencontré le roi du raï qui est revenu cette nouvelle expérience musicale. Interview :

Décidément vous avez le Maroc dans la peau…

En effet, j’étais à Rabat (Mawazine) il y a pas longtemps, Oujda la semaine dernière, Agadir est ma prochaine étape. Mais je serai aussi en Algérie bientôt. Et tous ces lieux sont les même pour moi. C’est un chez moi dont je prends soin. Il ne faut jamais oublier d’où on vient.

Qu’est ce qui a motivé cette fusion avec les gnaouas ?

Vous savez, je n’arrête pas d’harceler les gens quant j’aime quelque chose. J’aime la musique gnaoua mais je n’ai jamais été invité au festival d’Essaouira. Il fallait que ça arrive. Karim Ziyad m’a finalement contacté pour me demander si je pouvais faire cette fusion (avec Orchestre de la radio allemande, WDR et Hamid El Kasri). J’ai répondu que pour rien au monde je ne raterai ça.


Comment s’est passée la résidence avec les musiciens ?

On avait assez peu de temps mais qu’importe. Ce n’était pas réfléchi, plutôt intuitif. J’ai choisi quelques titres et les gnaouis ont vite intégré le rythme. La musique est universelle. Quand elle vient du cœur on a pas besoin d’établir de plan il suffit de jouer, le reste vient tout seul


Du raï gnaoui, c’est quand même pas une mince affaire…

C’est vrai mais le festival est fait pour ça. Cela fait déjà douze ans qu’ici on fusionne les genres. Là il était question de libérer encore plus les esprits en introduisant une thématique de plus qui est le raï de Khaled. La musique existe pour que ce genre d’aventure soit réalisé.


Il n’y a pas eu d’entrave sur le plan purement musical ?

On y ai allé doucement en essayant de ne pas agresser les oreilles et je crois que ça a fonctionné. Je refuse de voir de la fermeture dans la musique. Pas de racisme (large sourire) en musique, que de là mixture. Le festival gnaoua, c’est ça. Un mariage de cultures.


On aura donc encore plus de gnaoua dans les prochains albums

C’est déjà fait dans mon dernier album « Liberté » mais c’est sûr, avec cette expérience, j’en rajouterai. L’important dans ça c’est faire découvrir aux gens qui m’écoute un peu partout dans le monde la richesse de notre patrimoine musical qu’il malhoun, chaâbi ou gnaoui

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