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Le directeur régional du Programme Alimentaire Mondial (PAM) pour l'Amérique Latine et les Caraïbes, Pedro Medrano, a visité Haïti du 27 au 30 avril. Objectif : soutenir le PAM et les actions qu'il mène en appui au Gouvernement. En Haïti, M. Medrano a rencontré des bailleurs de fonds et des autorités du pays en vue de débattre de la nécessité pour le PAM d'accroitre son assistance à Haïti.
« Je suis en Haïti pour réitérer le soutien du système des Nations Unies dans son ensemble et du PAM en particulier aux efforts du Gouvernement haïtien pour combattre la crise alimentaire », a déclaré le directeur régional du PAM, devant un parterre de professionnels de médias haïtiens et internationaux à l'aéroport international de Port-au-Prince. C'était au terme de sa visite de quatre jours dans la capitale haïtienne.
Dans les discussions avec ses interlocuteurs, M. Medrano a débattu de la nécessité pour le PAM d' « accroitre son assistance à Haïti, de développer ses actions régulières et de les étendre jusqu'à la fin de l'année 2008 ». Il s'agit, autrement dit, de passer d'un million de bénéficiaires à 2,3 millions d'ici au mois de décembre.
Cette assistance, qui s'adresse aux franges les plus vulnérables de la population telles que les enfants et les femmes, requiert une aide financière chiffrée à 54,1 millions de dollars américains. Celle-ci doit aider à mettre en œuvre « un plan de stabilisation alimentaire » préparé par le Gouvernement en partenariat avec la communauté internationale.
Aussi, dans ses rencontres avec les bailleurs de fonds, le directeur régional a-t-il sollicité « une assistance accrue » en faveur du PAM et exprimé les préoccupations de l'Agence par rapport à la nécessité de soutenir le Gouvernement haïtien en vue de sauvegarder « les acquis réalisés au niveau social, de la sécurité, de la stabilisation et sur le plan macroéconomique ».
En effet, souligne-t-il, « il faut une réaction pratique et concrète. Il faut, certes, continuer à faire du renforcement institutionnel, à entreprendre des travaux d'infrastructures. Cependant, si rien n'est fait pour assister directement la population, tous ces efforts risquent d'être annihilés ».
Prenant également part à la conférence de presse, le Représentant spécial du Secrétaire général pour les Affaires humanitaires et de Développement, par ailleurs Coordonateur du système des Nations Unies, Joël Boutroue, abonde dans le même sens. Il croit que pour sauvegarder les acquis divers réalisés au cours des trois dernières années, le soutien au Gouvernement doit permettre de faire face aux problèmes à trois niveaux.
« Il faut d'abord une assistance immédiate destinée à faire face à la crise. Il faut également poser les bases pour un accroissement de la production nationale. Ces actions doivent être accompagnées d'une augmentation des activités à haute intensité de main-d'œuvre », soutient-il.
Le directeur régional du PAM s'est félicité du soutien fourni par des pays comme la France, la Suisse, l'Espagne et le Brésil aux actions de l'agence en Haïti, ainsi que des nouvelles promesses faites par le Canada. Cependant, il se préoccupe des risques de non financement de son nouveau programme. Une situation, si elle se produit, forcera le PAM à réduire son intervention, avec des conséquences énormes sur les couches les plus vulnérables de la population.
Juillet 2011 – L’absence de pluie à la fin de l’année 2010 a provoqué une grave sécheresse dans la majeure partie de la Somalie ainsi qu’une réduction importante de la sécurité alimentaire pour la quasi totalité de la population. Le taux de malnutrition aiguë s’élève à 16 % à l’échelle nationale (au-delà du seuil critique) et, dans de nombreuses régions, il dépasse le seuil de famine, qui est de 30 %. Les Nations Unies rapportent que 3,7 millions de Somaliens – plus de la moitié de la population – ont besoin d’une aide d’urgence, alors qu’ils doivent composer avec la sécheresse, les conflits et les prix records de la nourriture.
En Somalie, le Programme alimentaire mondial (PAM) vise à aider 2,6 millions de personnes touchées par la sécheresse et l’insécurité alimentaire par l’entremise de la distribution générale de denrées alimentaires aux membres les plus vulnérables de la société. De plus, il dirige un programme d’alimentation complémentaire ciblé afin d’aider les enfants souffrant de malnutrition modérée, distribue de la nourriture à de jeunes enfants et à des femmes enceintes et allaitantes et fournit de l’aide alimentaire d’urgence dans des écoles pour permettre à des élèves du primaire de se nourrir. Le PAM, principal fournisseur d’aide alimentaire d’urgence pour les populations touchées par les conflits et la sécheresse en Somalie, est l’un de nos plus importants partenaires humanitaires. Ses résultats en matière d’aide alimentaire en Somalie sont éloquents.
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